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1964 - LES BARBOUZES



RESUME
Constantin Benard-Shah est mort à Paris, dans des circonstances délicates. Feu Benard-Shah avait la douée manie d'utiliser son immense fortune à acheter les brevets d'invention des armes les plus terribles, afin de les neutraliser. Francis Lagneau, as des Renseignements Français, reçoit de son chef la délicate mission de ramener chez lui, incognito, le défunt, et de faire le siège de la veuve pour éviter que les précieux plans ne tombent en des mains sans probité : à savoir, celles de tout agent non français. Arrivé au château, Francis, qui s'est présenté comme un cousin de feu Benard-Shah, a la bonne surprise d'y rencontrer ses vieux camarades Vassillev, du SA. soviétique, Caffarelli, du S.R. suisse et Müller, du S.R. ouest-allemand. Les tours pendables qu'ils se jouent mutuellement sont interrompus par l'intrusion du Commodore 0'Brien, du S.R. américain, contre lequel les Européens font front commun, puis d'une nuée d'Asiatiques dont ils font de la chair à pâté. Et on se trouve ramené au problème précédent. Problème que Francis résoud provisoirement en faisant appel aux sentiments patriotiques, puis aux sentiments « tout court » de la veuve qui est jeune, impavide et française. Ensemble ils font « la belle », non sans avoir semé la perturbation dans les rangs de la concurrence. I y aura bien encore quelques défenestrations et quelques attentats ; mais Francis remplit brillamment sa mission. Il a les plans en mains. Reste à résoudre le problème de la séduisante veuve qui ne semble pas vouloir facilement se laisser abandonner.
© Les fiches du cinéma 2001

FICHE TECHNIQUE
Réalisateur : Georges Lautner
Scénario : Michel Audiard, Albert Simonin
Dialogues : Michel Audiard
Société de production : S.N.E.G. - Société Nouvelle des Etablissements Gaumont, Corona Filmproduktion (Munich)
Producteurs : Alain Poiré, Jean Mottet, Robert Sussfeld
Directeur de production : Jean Mottet
Distributeur d'origine : Gaumont International
Directeur de la photographie : Maurice Fellous
Ingénieur du son : René Longuet
Musique : Michel Magne
Assistant-réalisateur : Claude Vital
Monteur : Michelle David

DISTRIBUTION
Lino Ventura (Francis Lagneau)
Mireille Darc (Amaranthe)
Bernard Blier (Eusebio Cafarelli)
Francis Blanche (Boris Vassiliev)
André Weber (Rudolphe Rossini)
Charles Millot (Hans Muller)
Jess Hahn (O'Brien)
Violette Marceau (Rosalinde)
Françoise Giret (Madame Pauline)
Noël Roquevert (le colonel)
Louis Arbessier (le colonel suisse)
Michel Dupleix (le barbouze avec Fiduc)
Gérard Darrieu (l'agent Fiduc)
Lutz Gabor (le colonel allemand)
Michel Dacquin (le barbouze du train)
Georges Gueret (l'Américain à Lisbonne)
Robert Dalban (le camionneur)
Hubert Deschamps (le douanier)
Monique Mélinand (Madame Lagneau)
Robert Secq (Bernashah)
Philippe Castelli (le portier d'Istanbul)
Jacques Balutin (le douanier)

AUTOUR DU FILM
Trois années de suite, Lino Ventura tourne sous la direction de Georges Lautner, trois des plus grands succès de sa carrière : LES TONTONS FLINGUEURS (1963), LES BARBOUZES (1964) et NE NOUS FACHONS PAS (1965). Ces trois films, dialogués par Michel Audiard, se placent délibérément sous le signe de la parodie : film de gangsters (LES TONTONS FLINGUEURS, NE NOUS FACHONS PAS), film d'espionnage (LES BARBOUZES). Lautner a d'ailleurs déclaré : "Je voudrais introduire dans LES BARBOUZES tous les poncifs du genre. Il y aura donc des micros partout, des couloirs secrets, des personnages qui apparaissent et disparaissent, d'autres qui prennent toutes sortes de déguisements, des attentats, des explosions, des bagarres. Comme, dans l'espionnage, la réalité dépasse souvent la fiction on peut aller très loin, presque jusqu'au délire!".

CRITIQUES

"L'« affaire » était encore brûlante quand Giuseppe Ferrara entreprit son film. La multitude des événements (réels) fournissait suffisamment de ressorts dramatiques et sanglants pour que le film s'éloigne de ses bonnes intentions de départ et cède au spectaculaire. Aussi suit-on cette tragédie comme un véritable polar. Trop. Car Ferrara, ancien critique auteur d'un livre sur Rosi, n'est pas à la hauteur de son modèle. L'aspect politique se dissout dans de nuageuses et conventionnelles magouilles. Et, tant d'années après les faits, Cent Jours à Palerme perd son côté document. Reste que Ventura est remarquable. A noter, enfin, que la version proposée en France, avec des coupes et des modifications par rapport à la version sortie en Italie, rehausse le personnage de Ventura au détriment de l'analyse des interactions entre Mafia, milieux financiers, pouvoirs, Eglise, voire Brigades rouges."
Télérama - François Ramasse


AFFICHES





PHOTOS


© Sunset Boulevard/Corbis


VIDEOS

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Dernière modification le : 13/10/2007 @ 12:25
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