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1978 - LA GRANDE MENACE



RESUME
L’écrivain John Morlar est sauvagement agressé devant la télévision qui retransmet le vol de la navette spatiale. On le croit mort, alors que son cerveau continue à fonctionner. Chargé de l’enquête, l’inspecteur Brunel, détaché à Londres, rencontre sa psychiatre, le docteur Zonfeld, selon laquelle Morlar détient le pouvoir de télékinésie qui, à distance, lui permet d’agir sur les objets et les personnes. Malgré lui, il a ainsi tué sa nurse puis ses parents, écrasés par leur propre voiture.

Au fil des visites, Brunel apprend qu’il est encore à l’origine de plusieurs autres morts : un professeur qui l’avait humilié, la femme d’un voisin, un juge qui, lorsqu’il était jeune avocat, avait fait condamner l’homme qu’il défendait. Enfin, sa femme, qui le trompait effrontément, est morte dans un accident de voiture avec son amant. Brunel est convaincu que Zonfeld ne dit pas toute la vérité. Un soir, elle finit par avouer. Comme elle doutait des pouvoirs de Morlar, celui-ci avait sciemment provoqué la chute d’un avion sur un immeuble, causant ainsi la mort de trois cents personnes. Pour l’empêcher de nuire davantage, elle lui fracassa le crâne à coups de statuette. Peu après ses aveux, elle met fin à ses jours.

En analysant les écrits de Morlar, Brunel comprend qu’il ne survit que pour provoquer une nouvelle catastrophe : détruire la cathédrale de Westminster, où la reine doit présider une cérémonie. Les autorités tardant à intervenir, la façade s’effondre, causant de nombreuses victimes. Brunel a tout juste le temps de sauver la reine puis débranche tous les tuyaux qui retiennent encore Morlar en vie, seul moyen de mettre un terme à ses sinistres activités. Mais avant de mourir, Morlar a encore le temps de griffonner le nom d’une centrale nucléaire qu’il menace de faire exploser.

FICHE TECHNIQUE
Réalisation : Jack GOLD (1978)
Scénario : John BRILEY
D’après le roman de Peter VAN GREENAWAY
Directeur de la photographie : Arthur IBBETSON
Musique : Michael J LEWIS
Production : Bulldog / Citeca / ITC
Distribution  : Carlton International
Durée : 110 minutes
Genre : Drame/Mystère/Thriller
Sortie France : 22 Novembre 1978

DISTRIBUTION
Richard BURTON (John Morlar)
Lino VENTURA (L’inspecteur Brunel)
Lee REMICK (Le docteur Zonfeld)
Harry ANDREWS (Le chef de Scotland Yard)
Alan BADEL (L’avocat)
Marie-Christine BARRAULT (Patricia Morlar)
Jeremy BRETT (Edward Parrish)
Michael HORDERN (Atropos, le voyant)
Gordon JACKSON (Le docteur Johnson)
Derek JACOBI (Townley)
Michael BYRNE (Le sergent Duff)

AUTOUR DU FILM
THE MEDUSA TOUCH, le titre original, se réfère au pouvoir de la Gorgone qui, dans la mythologie, avait le pouvoir de pétrifier tous ceux qui fixaient son regard. C’est le cas ici du personnage interprété par Richard Burton qui, l’année précédente, était apparu dans un autre film fantastique, L’EXORCISTE 2 – L’HÉRÉTIQUE (Exorcist 2 - The Heretic) de John Boorman. Quant à Lee Remick, elle avait tenu le principal rôle féminin de LA MALÉDICTION (The Omen, Richard Donner, 1976).

En revanche, pour Lino Ventura, convaincu de l’intérêt du scénario – évoquant « The Man in the Power », un épisode de la série « Outer Limits » avec Donald Pleasence –, c’était sa première et unique incursion dans le genre fantastique. Avec Richard Burton et Daniel Cauchy, il en assura la production. « Jouer en langue anglaise – déclara-t-il - et dans un film dont le thème était très original, représentait un banc d’essai, une expérience que je voulais tenter », ajoutant toutefois « c’est une chose de mâcher trois mots d’anglais autour d’une table avec quelques amis, mais c’en est une autre devant une caméra ». (in “Lino Ventura” par Philippe Durant, Lausanne : Favre, 1987). Sur la télékinésie, Brian De Palma réalisa, à la même époque, CARRIE AU BAL DU DIABLE (Carrie, 1976) et FURIE (The Fury, 1978).

CRITIQUES

"Le Cri, célèbre tableau expressionniste d'Edvard Munch, qui ouvre le film, exprime bien l'état d'esprit de La Grande Menace. A partir d'un scénario assez invraisemblable, Jack Gold conduit à la fois une charge caustique contre l'establishment et une réflexion métaphysique assez intéressante sur l'angoisse des hommes face à l'irrationnel. De l'écrivain aux pouvoirs destructeurs à la psychiatre habituée aux révélations les plus étranges, en passant par le policier spécialiste des affaires sordides, tous se rendent coupables d'actes condamnables. Malheureusement, l'absence de style du réalisateur affadit le propos, malgré une distribution prestigieuse dans laquelle chacun joue parfaitement son rôle."
Télérama - Gérard Camy


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Dernière modification le : 10/10/2007 @ 21:14
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