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DINO RISI - FILMOGRAPHIE

1959 - LE VEUF (IL VEDOVO)

Réalisateur : Dino Risi
Scénaristes : Fabio Carpi, Sandro Continenza, Rodolfo Sonego, Dino Verde
Compositeur : Armando Trovajoli
Monteur : Alberto Gallitti
Chef opérateur : Luciano Trasatti
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1 heure 30 minutes


Avec : Alberto Sordi (Alberto Nardi), Franca Valeri (Elvira Almiraghi), Livio Lorenzon (Stucchi), Nando Bruno (L'oncle d'Alberto), Ruggero Marchi (Carlo Fenoglio),Sylva Koscina (Elle-même) (non créditée)


Petit patron d'une entreprise qui périclite, Alberto Nardi quémande sans cesse des sous auprès de son épouse, une riche héritière, qui l'humilie en refusant la moindre lire. Apprenant la mort de cette virago dans un accident, il se sent pousser des ailes : à lui la belle vie et les p'tites femmes ! Enfin libre ! Mais, hélas, la harpie a survécu. Il convient donc de l'assassiner, n'est-ce pas ? Alberto met en route un plan démoniaque...

Alors que l'Italie vit une période économiquement très faste, Dino Risi et ses scénaristes épinglent joyeusement l'affairisme et la vénalité. Alberto Sordi livre une interprétation spectaculaire de ce mari humilié qui rêve d'être veuf

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CRITIQUES

Mon avis

Autres

"Un Dino Risi peu connu, avec l’immense Alberto Sordi." Pascal Mérigeau - Téléobs

http://shangols.canalblog.com/archives/2009/10/26/15571871.html

http://dvdtoile.com/CritiqueDvd.php?dvd=29319

1968 - FAIS-MOI TRES MAL MAIS COUVRE-MOI DE BAISERS (Straziami, ma di baci saziami)



ATTENTION SPOILER - RESUME COMPLET !

Marino Balestrini, coiffeur naïf, fait la connaissance de Marisa, jeune ouvrière un peu gourde lors d'un festival de danses folkloriques à Rome. C'est le coup de foudre. Un jour d'hiver, Marino arrive dans la petite ville où vit Marisa et s'y fait engager par le coiffeur. Au printemps, Marino et Marisa décident de se marier. Hélas, le père de celle-ci, sculpteur vertueux, refuse. Eplorés, les jeunes gens tentent de se suicider mais le père de Marisa meurt soudainement. Il n'y a plus d'obstacle à leur amour.
Mme Adelaïde, propriétaire de la pension où loge Marino, est follement amoureuse de lui. Repoussée, elle insinue des propos malveillants sur la conduite passée de Marisa avec un certain Guido. Marino accuse alors Marisa de le tromper. Elle le gifle. Fou de douleur, il se retrouve malade et délirant. Quand il revient à lui, Guido et le curé lui révèlent son erreur. Marino court chez Marisa. Trop tard : ulcérée, celle-ci est partie pour Rome.
Dans la Ville Eternelle, Marino cherche partout son aimée, qui a trouvé du travail chez Umberto Ciceri, tailleur jovial, bon vivant et sourd-muet. Le temps passe. Marino a été engagé comme valet chez un riche bourgeois qui, à la suite d'une altercation, le renvoie. Sans travail et sans le sou, Marino n'est bientôt plus qu'un clochard. A Noël, désespéré, il se jette dans le Tibre ; mais un vieil original le sauve. Apprenant la nouvelle par les journaux, Marisa lui rend visite à l'hôpital et lui avoue qu'elle a épousé Ciceri. Grâce à son voisin de lit, Marino a gagné une fortune à la loterie et, "riche et cruel, comme le Comte de Monte-Cristo ", il se fait tailler des costumes chez Ciceri, au désespoir de Matisa.
Peu à peu, leur amour renaît. Ils décident alors de supprimer Ciceri, en faisant exploser son poêle. Puis ils sont pris de remords. Trop tard : le poêle a explosé ! Mais Ciceri n'est pas mort au contraire : le choc lui a rendu la parole qu'il avait perdue étant enfant pendant les bombardements. C'est un homme heureux : il chante à tue-tête, embrasse tout le monde, crie de douleur et de joie. Toutefois, il doit respecter le voeu que sa défunte mère avait fait s'il recouvrait la voix : entrer en religion. Ciceri fait donc annuler son mariage. Marino et Marisa se marient alors dans la chapelle du couvent où s'est retiré Umberto avec sa bénédiction muette, car il est entré dans un ordre voué au silence !

Genre : Comédie sentimentale
Durée : 1h43.
DATE DE SORTIE :01 février 1973

Avec : Nino Manfredi (Marino Balestrini), Ugo Tognazzi (Umberto Ciceri), Pamela Tiffin (Marisa Di Giovanni), Moira Orfei (Adelaide).

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Fais-moi treès mal ... Best of 2

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1969 - UNE POULE, UN TRAIN... ET QUELQUES MONSTRES (VEDO NUDO)

Film composé de 7 sketches

1/La Diva. - L'actrice Sylva Koscina recueille un blessé grave qu'elle porte à l'hôpital le plus proche. Là, les médecins et les infirmiers lui portent une telle attention qu'ils en oublient le blessé et le laissent mourir.

2/Audience à huis clos. - Un paysan demeuré passe en jugement pour avoir violé une poule. Le tribunal l'acquitte mais l'oblige à payer des dommages et intérêts aux propriétaires du gallinacé qui, traumatisé, ne pond plus.

3/Ornella. - Ercole est un jeune employé de poste timide et homosexuel qui entretient une correspondance, sous le pseudonyme d'Ornella, avec Carlo Rinaldo. Quand celui-ci, en visite à Rome, décide de venir faire la connaissance d'Ornella, Ercole se fait alors passer pour le frère d'Ornella. Mais, Carlo découvre peu à peu la vérité, et l'accepte.

4/Le voyeur. - Un culturiste myope croyant observer une jeune fille qui s'est déshabillée devant une fenêtre qui fait face à la sienne découvre que c'est en fait son propre corps qui se reflète dans un jeu de miroirs.

5/La dernière vierge. - Manuela, une petite oie blanche provinciale, prend un réparateur de téléphone pour le maniaque sexuel dont on parle à la radio et se donne à lui pour avoir la vie sauve.

6/Locomotive chérie. - Nino, traumatisé par les bombardements durant la guerre, abandonne chaque soir sa très belle femme pour aller se coucher entre les rails et jouir quand passe au-dessus de lui, à pleine vitesse, le Paris-Rome.

7/Je vois nu. - Le directeur d'une agence publicitaire est atteint d'une maladie singulière : il voit nues toutes les femmes qu'il rencontre. Après avoir suivi un traitement dans une clinique psychiatrique suisse, il reprend ses fonctions, guéri et il s'aperçoit que ce sont les hommes que maintenant il voit nus.


Réalisation : Dino Risi
Auteurs & scénaristes : Fabio Carpi, Jaja Fiastri, Ruggero Maccari, Dino Risi et Bernardino Zapponi
Producteurs : Pio Angeletti, Adriano De Micheli
Compositeur : Armando Trovajoli
Directeurs de la photographie : Alessandro D'Eva, Erico Menczer
Genre : Comédie
Durée : 1h55
REMIÈRE EXPLOITATION FRANÇAISE : 04 octobre 1972

Avec : Nino Manfredi (C( Cacopardo / Angelo Perfili / Ercole / le voyeur / le réparateur de téléphone / Maurizio / Nanni ), Sylva Koscina (elle-même / la star), Véronique Vendell (Manuela, la pucelle), Umberto D'Orsi (Federico), Daniela Giordano (Luisa), Enrico Maria Salerno (Carlo Alberto Rinaldo), Nerina Montagnani (le vieux paysan)

CRITIQUES

Mon avis

Très bon film à sketches, dans la lignée de "Sesso Matto" réalisé 4 ans plus tard avec un numéro étourdissant de Nino Manfredi, qui montre l'énormité de son talent. Sans forcer le trait, il est inénarrable en paysan violeur de poules complètement abruti ou touchant en homo employé de la poste. On est dans la grosse farce donc forcément le trait est appuyé mais le divertissement est éblouissant. Plus de 40 ans, le film est un vrai bonheur cinématographique. A quand une édition DVD pour ce Risi moins diffusé, à signaler pour la première fois une reprise en salles au coeur de l'été le 17/08/2011 à Paris, à ne pas rater !

Autres critiques

"Bien plus qu'une œuvre sur l'érotisme et ses perversions, « Une poule, un train... et quelques monstres » est avant tout un film sur la société italienne. Les obsessions sexuelles des personnages et leurs comportements à leurs égards témoignent d'une véritable aliénation sociale. Zoophilie, orgasme ahurissant assouvi avec un train, hallucinations sexuelles, homosexualité refoulée, Dino Risi, maître de l'humour noir dans la comédie italienne, signe un film phénoménal et stupéfiant. Nino Manfredi, interprète des principaux personnages masculins, est absolument étonnant. A coup sûr, cette surprenante réédition ne laissera pas les spectateurs indifférents !"
Dossier de presse

http://chroniqueducinephilestakhanoviste.blogspot.com/2011/08/une-poule-un-train-et-quelques-monstres.html

VIDEOS


Une poule, un train... et quelques monstres 1969 par le-pere-de-colombe



Vedo nudo - sketch La Diva
Vedo nudo - sketch extrait Ornella
Vedo nudo - sketch L"illusione del guardone
Vedo nudo - sketch "La paura del mostro"
Vedo nudo - sketch "Motrice Mia"
Vedo nudo - sketch "Processo a Porte Chiuse"

1971 - MOI, LA FEMME (NOI DONNE SIAMO FATTE COSI)

Film à sketchs qui ne mettent en scène que Monica Vitti :
1) L'instrumentaliste, 2) Zoé, 3) Annonziata, 4) Teresa, 5) Alberta, 6) Eliana, 7) Katerine, 8) Erika, 9) Palmira, 10) Agata, 11) Laura, 12) Fulvia

Un one woman show comique et caustique pour stigmatiser l'aliénation dont peuvent souffrir les femmes, en une suite de portraits interprétés par Monica Vitti.

- "UNA GIORNATA LAVORATIVA" (un jour de travail)
Une musicienne joueuse de cymbales qui doit exécuter dans un concert juste 3 coups de cymbales est convaincue d'avoir longuement travaillé.
- "ROMANTICA" (Romantique)
Zoé, une esthéticienne Romagne déçue en amour, expose ses peines à un professeur de lycée et finit par se retouver au lit avec lui.
- "MAMMA"
Annunziata, la mère de 22 enfants, qui en attendant un autre, est interrogé sur le sujet du contrôle des naissances.
- "SCHIAVA D’AMORE" (Esclave de l'amour)
Teresa, une violoniste, boiteuse, est incapable de rompre avec un fruste musicien de rue
- "IL MONDO CAMMINA"
Alberta et Fernando, un couple sicilien aux idées évoluées et aux moeurs libérées, après avoir confessé publiquement leurs amours infidèles, finiront par se tuer l'autre.
- "CUORE DI PADRONE'
Palmire, une syndicaliste militante, a été dupé par son patron qui est plus sensible à la mort de son chien que pour le sort de ses employés.
- "ET DOMINUS VENIT"
Soeur Katherine chante dans un spectacle de musique beat, provoquant le désarroi dans le public d'un cardinal.
- "VIETNAM"
Eliana, une correspondante de guerre blessée lors d'un bombardement, insulte un éminent politicien venu lui rendre visite à l'hôpital.
- "LA MOTOCICLETTA"
Erika, une acrobate à motos, est payée 100 000 lires pour satisfaire les étranges désirs d'un admirateur âgé.
- "L’ANGELO DEI CIELI"
En avion au cours d'une tempête, Agata l'hôtesse de l'air sophistiquée, après avoir calmé les passagers étrangèrs invoque en dialecte de Bari son saint patron.
- "L’ALLUMENSE"
Certains clients d'un restaurant se sentent excités par les yeux rêveurs que semble poser sur eux Laura : en réalité elle est aveugle.
- "CHIAMATE ROMA 31-31"
Fulvia se confie à une émission à la radio pour dénoncer la violence inexistante subie par trois brutes, en espérant les inciter à la violer vraiment.

Réalisation : Dino Risi
Scénario : Dino Risi, Ettore Scola, Luciano Vincenzoni, Rodolfo Sonego
Dino Risi (Una giornata lavorativa), Luciano Vincenzoni (Romantica), Giuseppe Catalano e Dino Risi (Mamma), Luciano Vincenzoni e Dino Risi (Schiava d’amore), Age e Scarpelli (Il mondo cammina), anonimo (Vietnam) Ettore Scola (Et Dominus venit), Luciano Vincenzoni (La motocicletta), Rodolfo Sonego (Cuore di padrone), Ettore Scola (L’angelo dei cieli), Luciano Vincenzoni e Dino Risi (L’allumense), Rodolfo Sonego (Chiamate Roma 21 - 21)
Photo : Carlo di Palma
Musique : Alberto Trovajoli
Genre : Comedie
Durée : 1H45 mn
Sortie pays d'origine : 29 septembre 1971
Sortie en salles France  : le 27 Octobre 1973


Laura - un des meilleurs sketch

Moi la femme - sketch "Katherine"

Moi la femme - sketch "L'angelo dei cieli"

Moi la femme - sketch du générique

1984 - LE BON ROI DAGOBERT



Réalisation : Dino RISI
Scénario et dialogues : Gérard BRACH, AGE, Dino RISI
Directeur de la photographie : Armando NANNUZZI
Décors : Dante FERRETTI
Musique : DE ANGELIS
Production : Gaumont, Stand'Art, FR3 (France), Filmedis (France), Opéra-Films (Rome), Archimède International
Distribution : Gaumont
Durée : 112 minutes
Genre : Comédie
Sortie : 22 août 1984


Avec : Coluche (Dagobert Ier), Carole Bouquet (Héméré), Ugo Tognazzi (le pape Honorius et son sosie ), Michel Serrault (Otarius), Michael Lonsdale (saint Eloi), Isabella Ferrari (Chrodilde), Francesco Scali (Landek), Sabrina Siani (Berthilde), Venantino Venantini


Dagobert, roi des Francs, digne représentant d'une dynastie de souverains fainéants, semble plus à l'aise devant une table ou au lit, dans son " car à coucher " entouré de ses fidèles concubines, que dans l'exercice du pouvoir royal.
Un jour que son escorte est attaquée en pleine forêt par des barbares, il prend courageusement la fuite. Entouré de loups affamés, il trouve refuge dans un arbre en compagnie d'une nouvelle conquête de son conseiller, le " bon " moine Otarius. Craignant malgré tous les feux de l'Enfer, Dagobert jure de se rendre à Rome demander le pardon de ses fautes au pape Honorius 1er s'il parvient à s'en tirer. Ainsi fut fait. Mais sur place le sosie du pape lui fait connaître la belle princesse Héméré dont il tombe amoureux. En fait, Héméré n'est autre que la sœur de l'empereur de Byzance qui a des vues sur le royaume franc... Dagobert déjoue le complot... ou presque, le vrai pape reprend son trÔne et absout le pêcheur.
Sur le chemin du retour Otarius conclut un pacte avec la belle Héméré, prisonnière de Dagobert. Le bon roi meurt empoisonné. Son corps, hissé par de solides cordes, s'élève vers le ciel, le soir même où Otarius s'empare de la couronne et prend Héméré pour épouse... avec le plus grand mépris pour la vérité historique !

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Galerie photos du site Toutlecine.Com

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ANECDOTE

Pour Dino Risi, LE BON ROI DAGOBERT n'est pas exclusivement une comédie : "C'est un film historique, c'est un film d'aventure, c'est un film politique, c'est une comédie... Il y a un peu de tout cela dans DAGOBERT. Le siècle se prête très bien à ce genre d'approche multiforme. C'est une époque pleine de superstitions et de rivalités tribales. En plus elle contient le monde moderne en gestation. Un saut de près de douze siècles dans le passé, cela n'est pas rien. On a changé de costumes et de décors, cela n'empêche que les thèmes restent dune grande modernité. L'ascension vers le pouvoir d'Otarius est très proche de ce qui se passe en Iran, avec les ayatollahs. Là encore, le pouvoir spirituel est dénaturé. "


CRITIQUES

Mon avis

Le bon roi dagobert est un vrai ratage dans la carrière de Dini Risi. On attendait mieux de sa confrontation avec Coluche et d'une distribution brillante. Le sujet était prometteur mais cela ne s'avère pas très drôle. La vulgarité (pets, rôts, etc.) affichée n'est pas gênante, l'histoire l'exige, enfin surtout le personnage. C'est le réalisateur qui a sans doute perdu le contrôle de son film, écrasé par le gros budget d'une co production, il n'arrive pas à insufler de l'originalité, de la personnalité ni de l'intérêt à son histoire. Bref à oublier même si le film se laisse voir pour peu que l'on ne soit pas trop exigeant.

Autres

"Dino Risi a tourné quelques âneries dans sa vie, voici la pire de toutes, dans laquelle rien ne semble en quoi que ce soit défendable. Et Coluche ? On l'aimait mieux, mais ailleurs."
Bernard Achour - Téléobs

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Dernière modification le : 16/08/2011 @ 22:03
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