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Clint EASTWOOD - INVICTUS (ex THE HUMAN FACTOR)

Affiche non officielle





Réalisateur : Clint Eastwood
Scénario : Anthony Peckham d'après le livre deJohn Carlin "Playing the Enemy: Nelson Mandela and the Game That Made a Nation"
Directeur de la photographie : Tom Stern
Montage : Joel Cox et Gary D. Roach
Tournage : Afrique du Sud début 2 Mars 2009 à Cape Town et Johannesburg jusqu'à Mai 2009
Avec :
Matt Damon (Francois Pienaar)
Morgan Freeman (Nelson Mandela)
Julian Lewis Jones
Penny Downie
Anjoa Andoh
Scott Eastwood (joueur sud-africain Joel Stransky)


The Human Factor raconte les suites de l’Apartheid en Afrique du Sud. Le film s’intéressera à la relation entre Nelson Mandela (Morgan Freeman) et le capitaine de l’équipe des Springbok, François Pienaar (Matt Damon), alors que les deux hommes essayent de réconcilier le peuple à travers la Coupe du Monde de Rugby. En 1995, quatre ans seulement après la fin de l’Apartheid, l’Afrique du Sud organisa sa première Coupe du Monde, et parvint même à la remporter. L'équipe des Springbok avait jusque là étée un des symboles de l'Apartheid.

ANECDOTES :
-Selon CLint, il s'agira d'un drame politique prenant place un an après l'élection de Nelson Mandela et la fin de l'apartheid, avec, en point culminant, le fameux match entre les Springboks et les All Blacks lors de la finale de la Coupe du monde de rugby en 1995. Je veux montrer comment Mandela a su mettre à profit cet événement pour unifier son pays et tout un peuple. Il est encore trop tôt pour savoir ce que cela donnera, mais je vais faire de mon mieux !"

LIENS DIVERS

Un très bon article à lire sur "Objectif Cinéma", même si les propos datent de 2007...
http://www.objectif-cinema.com/spip.php?article4805


CRITIQUES

"Un dur à cuire qui rêve d'une sieste molle, c'est le profil du personnage type dans le cinéma de Clint Eastwood. Cinéma, on le sait, masochiste, très physique, tiraillé entre la nécessité d'agir et l'envie de buller, entre le laisser-aller - voire l'indifférence - et l'acharnement à vaincre. Quoi donc ? Le cow-boy d'en face, le soldat ennemi, l'adversaire de jeu... Le sport, aussi, est un combat : il faut batailler, résister, se cramponner. Eastwood avait déjà abordé ce thème sur un plan intimiste (la boxe dans Million Dollar Baby). Cette fois, il le fait à l'échelle d'un pays : l'Afrique du Sud, en 1995, lors de la Coupe du monde de rugby.
L'enjeu est de taille : rien de moins que la naissance d'une nation. Symbolique certes, mais de symboles, la politique a toujours besoin. Nelson Mandela vient d'être élu. Officiellement, l'apartheid est enterré. Dans les faits, il perdure. Lorsqu'il prend ses fonctions, le nouveau président annonce à son staff qu'il ne pratiquera aucune ségrégation parmi ses collaborateurs : les Blancs ne seront pas congédiés. Malgré tout, Noirs et Blancs ne se mélangent pas : le service d'ordre est clairement divisé en deux équipes, les fidèles gardes du corps de Mandela et les anciens, qui travaillaient pour De Klerk. Comment trouver un terrain d'entente ?
Le rugby, ce sport de voyous pratiqué par des gentlemen, sera donc la réponse. Déroutante, improbable. Nelson Mandela a l'intuition géniale que cette Coupe du monde est une occasion unique pour réconcilier tous les Sud-Africains : il faut viser la victoire de l'équipe nationale. Sauf que c'est une idée aberrante : les Springboks vert et or, historiquement composés presque ­entièrement de Blancs, n'ont jamais été soutenus par les Noirs. Second handicap, énorme : l'équipe est médiocre ; passer le premier tour de la compétition serait déjà un exploit. C'est l'une des forces du film : montrer que les grands gestes peuvent s'appuyer sur un brin de naïveté ou de folie.
Une sorte de mystique commune du sport et de la politique se fait jour dans Invictus. Une foi inébranlable, mais qui n'est pas aveugle, chevillée au réel. « On n'est jamais à 100 %, dans le sport comme dans la vie », souffle, un moment, Mandela à François Pienaar (Matt Damon), le capitaine des Springboks. Cette phrase étonnante de lucidité est sans doute la clé du film : elle signifie que la lutte se fait surtout avec soi-même. Surmonter ses blessures et ses faiblesses, puiser au fond de soi des ressources insoupçonnées, se libérer du goût de la vengeance et gagner de la puissance en pardonnant aux Blancs, c'est aussi ce que Mandela veut accomplir et transmettre. Non sans mal : il vieillit, mine de rien : on le voit faire un malaise. Quelque chose d'émouvant passe dans ses gestes moins sûrs, dans cette lenteur de lion, idéalement incarnée par Morgan Freeman.
Sur la pelouse, François Pienaar prend le relais et se surpasse avec ses coéquipiers. En général, au cinéma, lorsque des acteurs mettent des crampons, c'est souvent ridicule. Matt Damon, lui, est assez crédible. C'est d'autant plus surprenant que lui et Eastwood, comme bon nombre d'Américains, sont étrangers à la culture du rugby. Le film s'attarde, d'ailleurs, rarement sur le jeu stricto sensu et faillit quelque peu lorsqu'il abuse du ralenti dans certaines actions décisives. De toute façon, il s'agit moins de célébrer la beauté du sport que de refléter son retentissement à travers le pays, la ferveur collective, le flot d'impressions, à la fois riches et futiles, que la ­compétition procure. En cela, Eastwood, cinéaste rassembleur et populaire par excellence, est parfaitement à la hauteur de l'événement historique. Il nous fait revivre de l'intérieur cette aventure humaine, orchestrant l'émotion en un formidable crescendo. Etre tout près des dieux, partager un sentiment fugace d'éternité, qui peut résister à cela ? "
Jacques Morice - Télérama

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Dernière modification le : 18/01/2010 @ 23:14
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