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Réalisateur : Edward Goodman, Richard Wallace Scénario : Herman J. Mankiewicz Directeur de la photographie : Victor Milner Durée : 74 min Genre : Drame | Romance Date de sortie : 28 Mars 1931 (USA) Avec : William Powell (Michael Trevor), Carole Lombard (Mary Kendall), Wynne Gibson (Irene Hoffa), Guy Kibbee (Harry Taylor), Lawrence Gray
Une jeune fille américaine visite Paris accompagné de son fiancé et de son riche oncle. Elle fait la rencontre d'un romancier homme du monde et en tombe amoureuse ; mais ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'il est un maitre-chanteur qui se sert d'elle pour faire chanter son oncle.
1931 - LADIES'MAN
1931 - UP POPS THE DEVIL
1932 - I TAKE THIS WOMAN
1932 - NO ONE MAN
1932 - SINNERS IN THE SUN
1932 - VIRTUE
1932 - NO MORE ORCHIDS
1932 - UN MAUVAIS GARCON (NO MAN OF HER OWN)
Réalisateur : Wesley Ruggles Scénario : Milton Herbert Gropper, Maurine Dallas Watkins d'après roman de Val Lewton ("No Bed of Her Own", non crédité) et une histoire de Benjamin Glazer et Edmund Goulding Directeur de la photographie : Leo Tover Musique : Franke Harling (non crédité) Producteur : Albert Lewis Distributeur : Paramount Pictures Date de sortie US : 30 Decembre 1932 Durée : 85 minutes Avec : Clark Gable (Babe Stewart), Carole Lombard (Connie Randall), Dorothy Mackaill (Kay Everly), Grant Mitchell (Vane), George Barbier (Mr. Randall), Elizabeth Patterson (Mrs. Randall), J. Farrell MacDonald (Dickie Collins), Tommy Conlon (Willie Randall), Walter Walker (Mr. Morton), Paul Ellis (Vargas), Lillian Harmer (Mattie)
Le joueur Babe Steward (Clark Gable) est en difficulté avec la loi et décide de se retirer dans une petite ville. Là, il rencontre la bibliothécaire Connie Randall (Carole Lombard) et tente de la séduire. Ils font tomber une pièce de monnaie pour décider ou non de se marier. La pièce tombant du bon côté les oblige à se marier bientôt et Connie devient amoureuse de Babe. Babe, de son côté, continue ses combines tout en disant à Connie qu'il travaille à Wall Street. Connie ne se doute de rien jusqu'à ce qu'elle trouve des cartes marquées dans le bureau de Babe. Elle mélange les cartes et quand Babe joue un jeu de poker, il perd. Babe ne veut plus revoir Connie et s'en va à Rio de Janeiro pour gagner beaucoup d'argent aux cartes. Mais, sachant qu'il aime Connie, il se rend lui-même à la police pour servir sa peine de prison. Lorsque Babe revient vers sa femme enceinte Connie, il ne se doute pas qu'elle est au courant de sa tromperie, mais elle ne dit pas un mot à ce sujet et, en véritable fin Hollywoodienne, nous sommes amenés à penser que le couple continuera à vivre heureux pour toujours.
Fan video
Extrait
1933 - FROM HELL TO HEAVEN
1933 - SUPERNATURAL
Réalisateur : Victor Halperin Scénario : Garnett Weston (histoire), Garnett Weston(adaptation), Harvey F. Thew, Brian Marlow Directeur de la photographie : Arthur Martinelli Musique : Karl Hajos, Howard Jackson, Milan Roder (non crédités) Producteur : Edward Halperin, Victor Halperin Distributeur : Paramount Pictures Genre : Horreur | Mystère Date de sortie US : 12 mai 1933 (USA) Durée : 65 minutes Avec : Carole Lombard (Roma Courtney), Alan Dinehart (Paul Bavian (crédité Allan Dinehart), Vivienne Osborne (Ruth Rogen), Randolph Scott (Grant Wilson), H.B. Warner (Dr. Carl Houston), Beryl Mercer (Madame Gourjan, La logeuse de Paul), William Farnum (Nick 'Nicky' Hammond)
Dans la ville de New York, Ruth Rogan est reconnue coupable du meurtre de 3 de ses amants, et condamné à être exécutée. Pendant ce temps, la belle Roma Courtenay devient une héritière millionnaire lorsque son frère meurt. Un spiritualiste approche Roma avec un message urgent de son frère mort. Il dirige une séance de spiritisme truquée qui ne convainc pas Grant, l'ami de Roma mais rend Roma confuse. Ensuite, de manière inattendue, l'esprit de Ruth Rogan qui a été exécutée prend possession du corps de Roma. Roma s'en va avec le faux voyant sous le contrôle de Ruth Rogan. Grant essaie désespérément de faire revenir à elle Roma et qu'elle retrouve ses esprits.
1933 - L'AIGLE ET LE VAUTOUR (THE EAGLE AND THE HAWK)
Réalisateur : Stuart Walker Scénario : Seton I. Miller, Bogart Rogers d'après une histoire de John Monk Saunders ("Death in the Morning") Directeur de la photographie : Harry Fischbeck Musique : John Leipold (non crédité) Producteur : Bayard Veiller (non crédité) Distributeur : Paramount Pictures Genre : Guerre | Action | Drame Date de sortie : 6 mai 1933 (US) / 18 mai 1934 (France) Durée : 68 minutes Avec : Fredric March (Jerry H. Young), Cary Grant(Henry Crocker), Jack Oakie (Mike 'Slug' Richards), Carole Lombard (La belle dame), Guy Standing (Major Dunham), Forrester Harvey (Hogan), Kenneth Howell (Lt. John Stevens), Leyland Hodgson (Lt. Kingsford), Virginia Hammond (Lady Erskine), Douglas Scott (Tommy Erskine)
Les pilotes d'un escadron de la Royal Air Force pendant la Première Guerre mondiale font face non seulement aux dangers physiques mais mentaux dans leur lutte pour survivre tout en luttant contre l'ennemi.
1933 - BRIEF MOMENT
1933 - LE FOU DES ILES (WHITE WOMAN)
1934 - BOLERO
Extrait début du film superbe avec George Raft
1934 - WE'RE NOT DRESSING
Réalisateur : Norman Taurog Producteur : Benjamin Glazer Directeur de la photographie : Charles Lang Monteur : Stuart Heisler Distributeur : Paramount Pictures Date de sortie US : 26 Avril 1934 Durée : 77 min Avec : Bing Crosby (Stephen Jones), Carole Lombard (Doris Worthington), George Burns (George Martin), Gracie Allen(Gracie Martin), Ethel Merman (Edith), Leon Errol(Oncle Hubert), Ray Milland (Prince Michael Stofani crédité Raymond Milland), Jay Henry (Prince Alexander Stofani)
Avis : Comédie musicale démodée qui pourra paraître totalement ridicule pour certains ou surprenante par le ton de non sens et de burlesque adopté si l'on accepte de prendre l'histoire au deuxième voire troisième degré. Carole Lombard joue une riche héritière qui fait une croisière sur son yacht, entouré de deux princes bien niais, d'un oncle ivrogne totalement barré. Elle va tomber amoureux du matelot qu'elle a engagé pour s'occuper de son ours (sic), matelot interprété par Bing Crosby qui passe son temps à pousser la chansonnette. Au début, ça chante beaucoup et on craint le pire, avec l'impression d'être au milieu du n'importe quoi cinématographique, l'ours en vient à faire du patin à roulettes ! On se demande ce qu'est venu faire dans cette galère Carole Lombard puis petit à petit on se laisse un peu prendre au jeu et à accepter le parti pris du film qui ne cherche pas la crédibilité mais lorgne du côté du non sens total. Ce mélange de comédie romantique, de musical, de burlesque et d'aventures (les protagonsites échouant dans une île perdue) peut paraître indigeste mais cela se laisse voir gentiment. Carole Lombard passe de la sophistication hautaine, blonde platine à la Jean Harlow à une simplicité retrouvée lors du naufrage sur l'île, le tout avec son talent et sa beauté habituels.
1934 - TRAIN DE LUXE (TWENTIETH CENTURY)
Réalisation : Howard HAWKS (1934) Scénario, d'après leur pièce : Ben HECHT, Charles MACARTHUR Directeur de la photographie : Joseph AUGUST Production et distribution : Columbia Durée : 91 minutes Avec : John BARRYMORE (Oscar Jaffe), Carole LOMBARD (Lily Garland), Walter CONNOLLY, Roscoe KARNS, Charles LEVISON
Metteur en scène à Broadway, le cabotin Oscar Jaffe règne sur sa troupe en despote. Pour hâter la transformation en tragédienne de Lily Garland, ex-mannequin, il n'hésite pas, lorsque la situation l'exige, à planter une épingle dans les fesses de sa protégée, lui arrachant ainsi un authentique cri de douleur ! Devenue vedette, Lily, trois années durant, n'en reste pas moins la "chose", propriété exclusive, actrice et femme, de son Pygmalion d'Oscar; lorsqu'elle se risque à revendiquer un rien d'autonomie, celui-ci menace de se jeter par la fenêtre ! Mais l'esclave, un jour, secoue le joug du tyran et file à Hollywood où la gloire l'attend. Dépité, Jaffe met en scène "Jeanne d'Arc" avec une inconnue dans le rôle titre et essuie un cuisant échec. Poursuivi par ses créanciers, il se réfugie dans le "Twentieth Century", train de luxe qui traverse les États-Unis. Flanqué de son imprésario, Oliver Webb, et d'un attaché de presse alcoolique, Owen O'Malley, Oscar, incorrigible mythomane, rêve de revanche... Dans le train, un étrange petit bonhomme colle des étiquettes, " Repentez-vous, le temps est proche ", sur le crâne, le dos, le chapeau des passagers. Il s'appelle Matthew J. Clark, traverse une crise mystique et signe à tout va des chèques en bois. Lily, accompagnée de George, son dernier amant, monte dans le train, destination New York où l'attend son nouveau mentor, Max Jacobs, le pire ennemi de Jaffe. Oscar échafaude illico les plans les plus chimériques pour reconquérir son égérie. La meilleure idée lui vient de deux voyageurs farfelus et barbus qui lui offrent de mettre en scène une "Passion" de leur cru. Aussitôt, Oscar s'enflamme : il se voit déjà dirigeant lions et chameaux dans une superproduction biblique dont Lily, Marie-Madeleine en guenilles, serait le clou. Reste à convaincre la star ! Se roulant à ses pieds, Oscar interprète tous les personnages du drame avec une grandiloquence tragi-comique. Lily fascinée, lui rétorque : "Tu délires, tu n'as pas cent dollars ! " Erreur ! Clark vient de signer à Oscar un chèque d'un million de dollars... Plus dure sera la chute ! Clark est démasqué; Oscar, à nouveau sans un sou, fait mine de se suicider, cette fois au revolver. Le " mystique ", volant au secours du "désespéré", le blesse aussi maladroitement que légèrement. Oscar, sautant sur l'occasion, joue devant Lily éplorée le rôle du mourant et, en guise de dernière volonté, lui arrache sa signature au bas d'un contrat. À Broadway, Lily, telle une débutante, subit sur scène les brimades de son tyran bien-aimé...
Anecdotes : Le tournage, selon Hawks, fut une partie de plaisir grâce surtout au professionnalisme de John Barrymore : celui-ci, alcoolique invétéré, s'abstint de boire pendant les trois semaines de sa durée. Il est vrai que le rôle plaisait à l'acteur qui, demandant à Hawks pourquoi il l'avait choisi, s'attira cette réponse : "C'est l'histoire du plus grand cabot du monde et Dieu sait si cela vous ira bien ! " (in "Hawks sur Hawks", Éd. Ramsay, 1987). Hawks, qui n'avait jamais mis les pieds sur la scène d'un théâtre, chargea Barrymore de régler lui-même les séquences de répétitions, au début et à la fin du film. Avant de lui faire un triomphe, le public bouda cette comédie où, à la demande de Hawks, les acteurs disaient leur texte à toute allure, au point que certaines répliques se superposaient. " Parfois je n'y comprenais rien moi-même ! " confessa Hawks (ibid).
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