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BOURVIL - FILMOGRAPHIE ANNEES 1960 à 1970

1960 - LE CAPITAN

Réalisation : André Hunebelle
Adaptation : Jean Halain, Pierre Foucaud et André Hunebelle D'après le roman de Michel Zévaco
Dialogues : Jean Halain
Images : Marcel Grignon
Genre : Historique
Durée : 115 min
Tournage : Dans les Pyrénées, en forêt de Fontainebleau, aux studios FRANSTUDIO
Date de sortie France : 5 octobre 1960
Avec : Bourvil (Cogolin), Jean Marais (François de Capestang, Capitan), Elsa Martinelli (Gisèle d'Angoulême), Arnoldo Foá (Concini), Pierrette Bruno (Giuseppa), Guy Delorme (Rinaldo), Lise Delamare (Marie de Médicis), Christian Fourcade (Louis XIII), Marcel Pérès (l'aubergiste de la "pomme d'or"), Paul Préboist (un voleur)

Résumé complet : En 1616, Louis XIII a 15 ans. Son trône est convoité à la fois par Concini, favori de la reine-mère - et dont les bandes conduites par son homme de main, Rinaldo, dévastent les provinces - et par le duc d'Angoulême, chef des grands seigneurs conspirateurs. Le chevalier de Capestang, qui a affronté les pillards et n'a échappé à la mort que gràce à l'intervention d'une jeune fille elle aussi menacée parles sbires de Concini, se met en route pour Paris afin de demander justice. En chemin, il secourt un baladin, Cogolin, qui va désormais le seconder.
Bientôt, il se heurte à Concini qui le traite de " Capitan " après avoir cru pouvoir faire de lui un espion et lui avoir révélé que sa belle inconnue était la conspiratrice Giselle d'Angoulême, fille du duc, qu'il retient prisonnière. Aidé de Cogolin, Capestang la délivre et tente de convaincre les conjurés de demeurer fidèles au roi, auquel il a déjà sauvé la vie.
Mais Concini, qui vient d'accuser le Capitan d'avoir fait échapper Giselle, tient à sa merci les partisans du duc. Capestang les prévient à nouveau et se bat à leurs côtés; il tue Rinaldo à l'issue d'un duel sans merci. Quand survient Louis XIH, Giselle lui sauve la vie et demande que la loyauté du chevalier soit reconnue. Le roi annonce alors qu'il a fait exécuter Concini, ce qui décide le duc à se rallier à lui : cette alliance sera scellée par le mariage de Giselle et du Capitan.


Anecdotes : Il s'agit de la seconde version inspirée par le roman de Zévaco, après celle de Robert Vernay, réalisée en 1945 avec Aimé Clariond, Claude Génial, Jean Tissier, Pierre Renoir et - déjà - Lise Delamare.
Plusieurs romans de Michel Zévaco (1860-1918) ont été adaptés au cinéma, et certains à plusieurs reprises (tels " Le Pont des Soupirs" ou " Buridan ". Le plus célèbre d'entre eux, " Les Pardaillan", le fut dès 1914, dans une version produite par les films Jules Taillandier et due à Georges Halai, avant d'être illustré à deux reprises (en 1962 et 1964) par les soins de Bernard Borderie, puis développé en quinze épisodes dans la série télévisée réalisée par Josée Dayan en 1988.
En 1918, l'année de sa mort, Zévaco écrivit et réalisa lui-même le long métrage DÉCHÉANCE.

Avis : Après l'énorme succès du Bossu, André Hunebelle réunit pour la deuxième fois le duo très complémentaire et fonctionnant à merveille Jean Marais et Bourvil dans le même genre de film de cape et d'épée. Même si l'histoire et les rebondissements s'avèrent moins passionnants que dans le Bossu, cela reste aussi divertissant avec autant d"humour et d'action. Jean Marais exécute lui-même la plupart de ses cascades dont la plus mémorable est l'ascension de la tour où il va libérer sa belle. Bourvil n'est pas en reste, il est plus présent que dans ses autres prestations de valet faire valoir du héros, son personnage évoluant sensiblement en participant plus à l'action et en ayant droit aussi à sa part de romance. Il interprète deux chansons : Baladin et Pour se parler d'amour, avec Pierrette Bruno. Il est plus un compagnon, ami fidèle du héros qu'un simple serviteur. Au final, on passe un bon moment mais à un degré mondre qu'avec le Bossu.


Extrait avec Bourvil chantant Baladin et Paul Préboist en pick pocket


Extrait avec Bourvil et Pierrette Bruno chantant "Pour se parler d'amour


Jean Marais donne une leçon d'épée à Bourvil.

1966 - TROIS ENFANTS DANS LE DESORDRE



Eugène Laporte a construit son empire dans les travaux publics à la force du poignet. Une machination de ses concurrents le précipite en prison, sous l'inculpation de haute trahison. Son fondé de pouvoir et ami de toujours imagine alors de lui faire reconnaître en toute hâte trois enfants naturels choisis au hasard, afin d'éviter la confiscation de ses biens. A peine les documents sont-ils signés qu'Eugène est innocenté et libéré. Les encombrants gamins n'en arrivent pas moins l'un après l'autre, à la grande surprise d'Elisabeth, la douce fiancée du magnat. Voici d'abord un garnement de 12 ans, puis une idole yéyé de 18 ans et enfin un délinquant précoce...

Réalisation : Léo Joannon
Scénario : Léo Joannon
Dialogues : Léo Joannon et Jacques Emmanuel
Musique : Gaby Verlor
Directeur de la photographie : Henri Persin
Ingénieur du son : Jean Labussière
Décors : Paul-Louis Boutié
Montage : Robert et Monique Isnardon
Durée : 95 min. (cinéma)
Société de production : Gaumont
Directeurs de production : Robert Sussfeld et Mireille de Tissot
Producteur : Alain Poiré
Tournage :
A Saint-Maurice, en studio, ou encore à Paris et à Rungis (en construction à cette époque) pour les extérieurs.
Date(s) de sortie : 3 juin 1966 [France]
Genre : Comédie

AVEC :
André Bourvil : Eugène Laporte, entrepreneur de travaux publics
Jean Lefebvre ; Fernand Gauthier, le fondé de pouvoir
Jean-François Maurin : Le petit Noël
Robert Dalban : Maître Gaubert, juge pour enfants
Jacques Legras : L'inspecteur Barnachon
Gérard Lartigau : Roger Martin, l'autre jeune adopté
Robert Lombard : Maître Chevassot
Antonio Martinez : Ferreira, le veilleur de nuit acheté
Hubert de Lapparent : Mr Simonet
Henri Coutet : Le garçon de bureau
Yves Arcanel : Un inspecteur
Jacques-Henri Chambois : Un juge d'instruction
Roger Trapp : Un gardien de prison
Max Elloy : L'appariteur de la mairie
Robert Rollis : Un fonctionnaire de la mairie
Pierre Doris : L'impresario de Zoé
Jacques Mancier : Maître Vertex
André Philip : Le directeur de la prison
Rosy Varte : Mme Gisèle Duchemin
Uta Taeger : Zoé Duchemin, la jeune adoptée
Jeanne Herviale : Une ménagère
Anne-Marie Carrière : Marguerite, la mère de Roger
Pierre Tornade : Un agent en faction
Jeanne Colletin : Elisabeth Masson, l'inspectrice
Jacques Préboist : L'autre agent en factio


retrouver ce média sur www.ina.fr


1967 - LES CRACKS

Réalisateur : Alex Joffé
Genre : Comédie
Origine : France - Italie
Durée : 1 heure 50 minutes
Musique : Georges Delerue , Francis Lai

Avec : Bourvil (Jules Auguste Duroc), Robert Hirsch (maître Mulot), Monique Tarbès (Delphine Duroc), Bernard Verley (Lelièvre), Michel de Ré (le marquis de Lion), Anne Jolivet (Jocelyne), Gianni Bonagura (Pifarelli), Patrick Préjean (Médard)

RESUME

A Paris, au début du XXe siècle. L'inventeur d'une bicyclette très performante se retrouve malgré lui au départ de la célèbre classique Paris-San Remo.

En 1901, on prépare fébrilement la course cycliste Paris-San Remo. Jules Auguste Duroc, un petit artisan, vient d'inventer un engin révolutionnaire à roues libres. Son beau-frère, qui participe à la célèbre course, est chargé de tester la nouvelle bicyclette. Toutefois, lorsque Duroc reçoit la visite d'un huissier, il panique et prend la fuite, juché sur son étrange machine. Il se retrouve sous la tour Eiffel, où doit être donné le départ de la classique. Cerné par le peloton, il n'a d'autre choix que de prendre le départ avec lui. Grâce à son invention, il prend contre toute attente l'avantage sur les autres concurrents, qui n'entendent pas le laisser gagner...

CRITIQUES

"On se promène à travers la France, les vélos sont d’époque, mais le film se traîne. Paris-San Remo, c’est long."
Pascal Mérigeau - Téléobs

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Dernière modification le : 19/10/2010 @ 23:27
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