Warning: file_exists() [function.file-exists]: Unable to access /mnt/147/sda/5/d/bestofcine/phpmv2/libs/Html/QuickForm/Rule/style.css.php in /mnt/162/sda/5/d/bestofcine/skin/bnr/skin.php(1) : eval()'d code on line 1

bestofcine.free.fr

BESTOFCINE le meilleur du cinéma

Samedi 20 avril 2024

Accueil

Nouvelles

Photos

Téléchargement

Liens

Forum

Télévision

Rss

 

Admin

Calendrier

<< Avril  2024 >>
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04 05 06 07
08 09 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 01 02 03 04 05

Météo

Aujourd'hui

Département

Météo Consult

CANNES 2008 - LINHA DE PASSE

RESUME

Quatre frères issus d'une famille pauvre de Sao Paulo vont être confrontés à des décisions qui vont changer leur vie.

Sao Paulo, Brésil. Cleusa, 42 ans, femme de ménage, est à son cinquième mois de grossesse. Elle a déjà quatre fils qui ont entre 13 et 24 ans. Le demi-frère cadet est le seul Noir de la famille. Tous sont en lutte perpétuelle dans la plus dure des villes d'Amérique du Sud.
Sur une période d'un mois, ils devront prendre des décisions qui vont changer leur vie.
Au cœur du film, la ville de Sao Paulo, une mégalopole qui vit au rythme des va-et-vient incessants des coursiers sur leur moto bigarrées, des tambours des stades de football, ou des chants des églises pentecôtistes. Le film représente un pays qui, comme les quatre frères, cherche désespérément une nouvelle voie.


FICHE TECHNIQUE
Réalisateurs : Walter Salles, Daniela Thomas
Scénario : Bráulio Mantovani, Walter Salles, Daniela Thomas
Producteur : Walter Salles
Chef opérateur : Mauro Pinheiro Jr
Durée : 1h48
Pays : Brésil

DISTRIBUTION
Vinicius de Oliveira (Dario)
Kaique Jesus Santos (Reginaldo)
José Geraldo Rodrigues (Dinho)
João Baldasserini (Dênis)
Sandra Corveloni (Cleuza)
Luisa Micheletti (Fernanda)
Roberto Audio (Père Edson)
Carolina Dias (Ana)

AUTOUR DU FILM

CRITIQUES

"Linha de passe, de Walter Salles, propose un récit classique. Son film raconte quelques mois dans la vie de quatre frères et de leur mère à Sao Paulo. Trois garçons sont blancs, le quatrième est noir. La mère fait des ménages dans l'appartement d'une psychanalyste des beaux quartiers, l'aîné tente d'entrer dans une équipe professionnelle de football, le cadet est pompiste la nuit et prosélyte protestant le jour, le troisième est coursier et le petit dernier passe son temps dans les bus en cherchant les chauffeurs d'origine africaine, puisqu'il ne connaît de son père que sa couleur et sa profession.
Cette palette permet à Salles de filmer des tentatives d'évasion à répétition. Avec patience, il montre ces garçons qui prennent leur élan et à chaque fois se cassent le nez sur le mur de la misère. Il obtient de ses acteurs tant de justesse que le cœur se serre aussi fort quand on voit le doute s'insinuer chez le croyant que lorsque le footballeur se voit demander de payer pour avoir le droit de jouer dans un club professionnel. Chaque jour est l'occasion d'une nouvelle catastrophe, qui n'arrive d'ailleurs pas toujours et c'est bien là le miracle.
La photographie de Mauro Pinheiro est comme sur le point d'abolir les couleurs. Sous un ciel gris, les quatre frères et Cleuza, leur mère, découvrent que le bien et le mal, le courage et la lâcheté ne font guère de différence quand on est pauvre. Au bout du compte, Sao Paulo filmé par Salles est un enfer encore plus cruel que la Naples de Garrone, qui laisse échapper deux ou trois de ses prisonniers."
Thomas Sotinel - Le monde

VIDEOS

PHOTOS









Imprimer la page  Imprimer la page

Dernière modification le : 22/05/2008 @ 07:18
Catégorie : Aucune

Infos site

Webmaster :
BENYAYER Laurent

Envoyer un message

Ce site est compatible avec les navigateurs de version 5 minimum.

Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (art. 34 de la loi "Informatique et Libertés" du 6 janvier 1978) en écrivant au webmaster.

Déjà 1259834 visiteurs

Recherche

Google

Sur le web

Sur ce site

Haut

Site créé avec Phortail 2.0.5
PHP version 4.4.3-dev

Page générée en 0,077 secondes