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Paul NEWMAN - MADAME CROQUE-MARIS (1964 - WHAT A WAY TO GO !)




RESUME

Veuve pour la quatrième fois, Louisa May Foster se présente aux contributions directes afin d’offrir à l’État sa fortune de 211 millions de dollars. Croyant à une plaisanterie, puis à un coup de folie, les fonctionnaires l’envoient consulter le psychiatre Victor Stefanson, à qui elle confie le drame de sa vie : tous les hommes qu’elle épouse deviennent multimilliardaires, puis trépassent brutalement. Née à Crawleyville, petit village de l’Ohio, elle ne rêvait que de mener une vie simple et paisible auprès d’un mari aimant. Aussi repoussa-t-elle les avances de Leonard Crawley (un bellâtre arrogant dont la famille possédait la quasi-totalité de la localité) pour épouser Edgar Hopper, un doux rêveur amateur de pêche et lecteur assidu du philosophe Thoreau. Les premiers mois de leur union furent idylliques, mais Edgar voulut offrir une existence plus décente à l’élue de son cœur. Il se lança dans les affaires avec tant d’énergie que sa petite épicerie devint bientôt un gigantesque trust et qu’il mourut d’une crise cardiaque, laissant à Louisa un confortable pécule de 2 millions de dollars. La jeune femme partit pour Paris où elle fit la connaissance de son second époux, Larry Flint, artiste bohème et désargenté, inventeur d’une “machine à peindre” actionnée par les bruits ambiants. Un jour, elle lui conseilla de remplacer le bruit par de la musique symphonique, et ce fut le début du succès. Croulant sous les commandes, Larry fut pris de frénésie créatrice et périt, dévoré par sa machine. À peine remise de ce nouveau deuil, Louisa rencontra le richissime play-boy Rod Anderson. Comme il possédait déjà une immense fortune, elle ne risquait pas de le faire passer de la pauvreté à une trop soudaine richesse. Elle accepta donc de l’épouser et lui suggéra de se retirer dans une fermette à la campagne… où il mourut, assommé par un taureau. À la tête de 150 millions de dollars et encore sous le choc, elle trouva réconfort auprès de Pinky Benson, un comédien sans ambition qui, depuis des années, accomplissait le même numéro dans le même petit cabaret. Ils se marièrent et furent parfaitement heureux… Jusqu’au jour où elle lui demanda de renoncer à son habituel maquillage de clown. Sous son apparence naturelle, Pinky fit un triomphe et devint une star d’Hollywood adulée par des milliers de fans, les mêmes fans qui, un soir de première, emportés par l’enthousiasme, le piétinèrent à mort…

Entre alors dans le cabinet de Stefanson l’homme à tout faire de l’immeuble… Leonard en personne ! Ruiné par Edgar, il a découvert les joies de la vie simple et les bienfaits de la lecture de Thoreau. Et c’est avec ce cinquième mari que Louisa connaîtra enfin la félicité.


FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Jack LEE THOMPSON (1964)
Scénario : Betty COMDEN, Adolph GREEN
D’après une histoire de Gwen DAVIS
Directeur de la photographie : Leon SHAMROY
Musique : Nelson RIDDLE
Production : Arthur P JACOBS
Distribution : 20th Century-Fox
Durée : 111 minutes
Sortie US : 12 mai 1964

DISTRIBUTION

Shirley MacLAINE (Louisa May Foster)
Paul NEWMAN (Larry Flint)
Robert MITCHUM (Rod Anderson)
Dean MARTIN (Leonard Crawley)
Gene KELLY (Pinky Benson)
Bob (Robert) CUMMINGS (Le docteur Victor Stefanson)
Dick VAN DYKE (Edgar Hopper)
Margaret DUMONT (Mrs Foster)
Reginald GARDINER (Le peintre)


ANECDOTES

Dès 1961, Gene Kelly avait pris une option sur le projet, alors intitulé THE RICHEST GIRL IN THE WORLD. Il en revendit les droits à Arthur Jacobs et John Springer, qui engagèrent J. Lee Thompson et voulurent tourner le film avec Marilyn Monroe. Après le décès de celle-ci en août 1962, Springer se retira de l’affaire. Jacobs, lui, continua de chercher une remplaçante. Il contacta Elizabeth Taylor et Kim Novak, qui refusèrent, puis se tourna vers Shirley MacLaine, qui accepta. La notoriété de l’actrice à cette époque, ainsi que le casting riche et plein de surprises assurèrent au film un notable succès. L’actrice Teri Garr apparaît dans la séquence dansée sur le pont du bateau.

Frank Sinatra était le premier choix pour jouer Rod Anderson. Quand Darryl F. Zanuck refusa le salaire qu'il demandait, Robert Mitchum accepta de jouer le rôle sans salaire pour des raisons fiscales.

Le plateau utilisé pour le manoir hollywoodien de Luisa et Pinky Benson était à l'origine celui utilisé pour figurer la maison des personnages joués par Marilyn Monroe et Dean Martin dans le film inachevé "Something's Got To Give".

Box office
Budget estimé : $20,000,000
Recettes mondiales : $9,090,000

CRITIQUES

Mon avis

Jack Lee Thompson aux commandes, ça ne promet rien de renversant. A part un casting quatre étoiles, emmenée par une adorable Shirley MacLaine qui change de tenue toutes les cinq secondes, cette comédie luxueuse par les moyens reste assez poussive, pas désagréable à regarder si l'on est peu exigeant. Elle fait penser à un film à sketches, prenant prétexte du récit en flash-back que fait à son psychanalyste Louisa May, quatre fois veuve de maris richissimes. Le film est ainsi découpé en quatre épisodes, chacun racontant une des aventures matrimoniales de Louisa, avec à chaque fois en illustration une parodie, film pastiche de divers genres ou modes cinématographiques : "La nouvelle vague" européenne, les films muets, les comédies musicales hollywoodiennes avec Gene Kelly en personne. Le problème est que tout cela n'est pas très drôle et procède d'un humour lourdingue, asszez vite fatigant. Paul Newman, quant à lui, fait ce qu'il peut pour être drôle, s'agite beaucoup mais son rôle reste insignifiant. Il participe à la séquence se déroulant à Paris où il interprète un peintre chauffeur de taxi un peu bohème, qui au contact de Louisa va trouver la fortune et la célébrité comme tous ses autres maris, avant de mourir brutalement. Le seul détail amusant, uniquement appréciable dans la version originale, est de l'entendre parler français avec un sacré accent.

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Dernière modification le : 20/02/2008 @ 19:50
Catégorie : Aucune

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