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Paul NEWMAN - UN HOMME PRESQUE PARFAIT (1994 - NOBODY'S FOOL)




RESUME

North Barth est une petite bourgade de l’État de New York dont tous les habitants se connaissent, même s’il leur arrive parfois de faire semblant de s’ignorer. Ainsi, depuis son divorce, Sully loge à quelques mètres de son ex-épouse Vera, chez son ancienne institutrice miss Beryl, une charmante vieille dame dont le fils Clive Peoples Jr. dirige la banque locale. Indépendant et cabochard, Sully vit de petits travaux que lui octroie, après s’être fait beaucoup prier, son ami Carl Roebuck. Ce dernier a une jeune et ravissante épouse, Toby, qu’il trompe sans vergogne avec ses secrétaires. Depuis des années, Sully a entamé une interminable procédure contre Carl, qu’il estime responsable d’un vieil accident au genou. Cependant, l’incompétence de Wirf, son avocat, l’a jusqu’ici empêché d’obtenir gain de cause auprès du juge Flatt, que ces chicaneries incessantes exaspèrent profondément. Pour se venger, Sully passe son temps à dérober à Carl des outils et du matériel que celui-ci récupère illico. Cela n’empêche pas tout ce petit monde de se retrouver en toute convivialité autour d’un verre ou d’une table de poker.


Le retour inopiné de son fils Peter oblige cependant Sully à un examen de conscience. Peter lui reproche d’avoir été un père absent et d’être resté, malgré son âge, toujours aussi immature et indigne de confiance. Il accepte toutefois de l’accompagner dans ses chapardages et, peu à peu, le dialogue se renoue entre eux. Par ailleurs, Sully se prend d’affection pour son petit-fils Will, un garçon timide et sensible, perturbé par la mésentente entre ses parents. En aidant l’enfant à surmonter ses difficultés, le farouche indépendant découvre l’art d’être grand-père et acquiert la notion des responsabilités. Il a même le bon sens de refuser l’escapade amoureuse que Toby, lasse des infidélités de son mari, lui propose. Mais tout n’est pas rose sous le ciel de North Bath. Ayant engagé à la légère les fonds de sa banque dans une opération immobilière douteuse, Peoples doit prendre la fuite. À la suite d’une altercation avec la police, Sully fait de la prison et surtout, Miss Beryl meurt… sans toutefois l’oublier dans son testament.


FICHE TECHNIQUE

Réalisation et scénario : Robert BENTON (1994)
D’après le roman de Richard RUSSO
Directeur de la photographie : John BAILEY
Musique : Howard SHORE
Production : Scott RUDIN, Arlene DONOVAN /Cinehaus / Capella Intl / Paramount
Distribution : Pyramide
Durée : 110 minutes


DISTRIBUTION

Paul NEWMAN (Donald “Sully” Sullivan)
Jessica TANDY (Miss Beryl)
Bruce WILLIS (Carl Roebuck)
Melanie GRIFFITH (Toby Roebuck)
Dylan WALSH (Peter)
Alexander GOODWIN (Will)
Gene SAKS (Wirf)
Philip BOSCO (Le juge Flatt)
Josef SOMMER (Clive Peoples Jr)
Elizabeth WILSON (Vera)


ANECDOTES

En 1972, Robert Benton et Paul Newman avaient travaillé plusieurs mois sur un projet commun qui, finalement, n’aboutit pas. Mais l’idée d’une collaboration poursuivit son chemin et l’occasion leur en fut offerte par le roman de Richard Russo que Benton découvrit à la fin 1992. Plutôt que d’envoyer le livre à Newman, il se lança directement dans l’écriture du scénario qu’il lui adressa au printemps 1993. L’acteur accepta sans hésiter ce rôle qui lui rappelait, en plus léger, les personnages de marginaux à l’origine de son succès (LE PLUS SAUVAGE D’ENTRE TOUS, L’ARNAQUEUR, LUKE LA MAIN FROIDE) et devait lui valoir une nomination aux Oscars 1994. Pour le couple Roebuck, Benton avait d’abord songé à Ed Harris et Kim Basinger, mais ils n’étaient pas disponibles.

Le film est dédié à la mémoire de Jessica Tandy, décédée peu après le tournage, le 11 septembre 1994. Déjà très malade, elle avait demandé que toutes ses scènes soient filmées en deux semaines seulement.


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Dernière modification le : 05/02/2008 @ 22:16
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