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Paul NEWMAN - LES SENTIERS DE LA PERDITION




RESUME

Dans le Chicago de la Dépression, Michael Sullivan est un tueur professionnel au service de la mafia irlandaise. Son patron et mentor, Mr.John Rooney, l’a élevé comme un fils. Ces deux pères qui s’aiment l’un l’autre vont pourtant se détruire mutuellement, s’entre-déchirer pour protéger leurs propres enfants. Une terrible vague de violence qui fait pour premières victimes la femme de Sullivan et son fils cadet Peter. Dès lors un long périple physique et émotionnel commence pour Michael Sullivan et son fils survivant. Au bout de la route : la promesse d’une revanche et l’espoir d’un rachat.

FICHE TECHNIQUE

Réalisation : Sam Mendès
Scénario : David Self
D’après l’œuvre de Max Allan Collins
Directeur de la photographie : Conrad LHall
Musique : Thomas Newman
Production : Twentieth Century Fox / DreamWorks SKG / The Zanuck Company
Distribution : UFD
Durée : 125 minutes
Genre : Action


DISTRIBUTION

Tom Hanks (Michael Sullivan)
Paul Newman (John Rooney)
Jude Law (Maguire)
Jennifer Jason Leigh (Annie Sullivan)
Stanley Tucci (Frank Nitti)
Daniel Craig (Connor Rooney)
Tyler Hoechlin (Michael Sullivan Jr)
Liam Aiken (Peter Sullivan)


ANECDOTES

Au premier rang des collaborateurs de Sam Mendès figure celui que le réalisateur considère comme « central » dans son travail : le directeur de la photographie Conrad L.Hall, oscarisé deux fois pour BUTCH CASSIDY ET LE KID et 30 ans plus tard pour AMERICAN BEAUTY. Oscars 2003 : meilleure photographie (Conrad L. Hall)


CRITIQUES

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"Il faut être patient, attendre sagement que l'action s'ébroue, qu'une éclaircie apporte un soupçon de lumière sur un univers météorologiquement très couvert. A Chicago, au début des années 30, il pleut donc tout le temps, et l'eau alourdit les longs manteaux de gros drap des fantassins de la pègre. Dans la mafia irlandaise, on se sèche le coeur et le corps en famille, mais les liens d'amitié, voire d'amour, ne résistent pas forcément aux conflits d'intérêt... Quand l'histoire s'élance, enfin ­ et toujours sous l'averse ­, elle est cruelle. Le petit Michael (joué par un étonnant jeune acteur, Tyler Hoechlin) épie son père (Tom Hanks, remarquable de sobriété) et découvre son mystérieux métier : il est l'homme de main, préposé aux basses besognes, d'un caïd d'envergure (Paul Newman, charismatique comme d'hab'). C'est plus qu'un caïd : un patriarche, un père adoptif. Lequel, au moment de choisir entre sacrifier son authentique rejeton et cette seconde famille, n'hésite pas longtemps... Et voilà Michael et Papa qui se retrouvent (à tous les sens du terme) sur les routes, traqués par un tueur grimaçant, pervers et dégarni (Jude Law, déguisé). Sublimement photographié par le vétéran Conrad L. Hall, le deuxième film de l'Anglais Sam Mendes (lancé par le succès du premier, American Beauty) transforme un film de genre (Il était une fois en Amérique + Miller's Crossing + Les Incorruptibles) en une tragédie familiale classique. La métaphore liquide est habilement filée. Le ciel noir annonce le dénouement poignant, mais cette eau figure aussi le dégel des sentiments : amour filial et amour paternel, cachés par la loi du silence, s'expriment enfin en grosses gouttes aqueuses. Sam Mendes sait trouver les partis pris visuels forts qui renouvellent l'inévitable règlement de comptes à la mitraillette. L'émotion affleure, ici et là, sous l'impeccable glacis de l'image, et la perfection lisse d'un cinéma un peu trop millimétré"
Aurélien Ferenczi - Télérama

"« Michael Sullivan était-il bon ou méchant ? » La question se pose dès le début de ces SENTIERS DE LA PERDITION par l’intermédiaire de la voix off. En effet, le Tom Hanks que nous retrouvons ici s’éloigne fortement du gentil FORREST GUMP ou du bon père de famille de LA LIGNE VERTE. Il campe un personnage inhabituel, puisque jusqu’au mot fin l’interrogation persiste quant à la morale de ce tueur à gages. Un homme froid, mystérieux, impassible, qui laisse par moments entrevoir un soupçon de regret et une once de culpabilité. L’ambiguïté est en tout cas savamment cultivée et bien illustrée par la difficulté des rapports père/fils. Une thématique déjà traitée par Sam Mendès dans AMERICAN BEAUTY, où Thora Birch et Kevin Spacey développaient une relation d’amour filial pour la moins maladroite. En l’occurrence ici Michael Sullivan Jr admire son père autant qu’il en a peur. Mais comment empêcher un fils de prendre la même voie que son père ? Un sentier qui mène à la perdition. Une perdition filmée avec pudeur.
MISE EN SCENE HOLLYWOODIENNE
Même si dans les années 30 décrites par le film les hommes ont la gâchette facile, Sam Mendes ne tombe pas dans le piège du « trop » spectaculaire. Les scènes de meurtres ne cèdent pas au voyeurisme et à l’hémoglobine gratuite. A la beauté plastique évidente de ce long métrage se mêle une action très rythmée. La lumière de Conrad L. Hall avec des couleurs estompées au maximum est définitivement magnifique et se rapproche fortement de THE BARBER, L’HOMME QUI N’ETAIT PAS LA des frères Coen. Thomas Newman a signé une musique qui n’est pas sans rappeler celle qu’il a composée pour les ÉVADÉS et qui ponctue parfaitement les passages les plus puissants. Le tout est servi par un casting de rêve réunissant quatre générations d’acteurs, de Paul Newman à Tom Hanks, en passant par Jude Law et le jeune Tyler Hoechlin. Au contraire de Michael Sullivan, ne laissez aucune place au doute. Choisissez la bonne route, prenez la direction de la salle la plus proche et laissez-vous donc mener sur le sentier de la perdition."
Grégory Caulier - Monsieur Cinema


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Dernière modification le : 10/02/2008 @ 18:12
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