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Billy WILDER - UN, DEUX, TROIS (One, Two, Three 1961)



RESUME

Directeur pour l'Allemagne de la célèbre firme Coca-Cola, l'autoritaire C.P. MacNamara déploie tous ses efforts pour implanter la vente du produit de l'autre côté du rideau de fer. A ces soucis, s'ajoute celui de devoir chaperonner la fille du grand patron, Scarlett Hazeltine, venue séjourner à Berlin. A peine arrivée, elle disparaît, puis réapparaît, flanquée d'un sémillant et fougueux jeune homme, Otto Ludwig Piffl, avec qui elle vient de... se marier ! L'heureux élu est un fervent communiste du secteur-est. En attendant le voyage de noces à Moscou, Otto rentre chez lui, sans s'apercevoir qu'il traîne derrière sa moto un ballon marqué - Russki go home " et l'horloge à coucou offerte par MacNamara n'est qu'un piège destiné à le faire arrêter par les vopos pour propagande occidentale. Mais Scarlett est enceinte. Il faut faire revenir le jeune père. MacNamara fonce à l'est et convainc ses trois partenaires commerciaux soviétiques de se faire passer pour des agents spéciaux et de le libérer.
Interdit à l'Est pour avoir signé des aveux sous la torture psychologique, Otto ne peut plus qu'accepter les conditions de MacNamara, qui le fait adopter par un vieux comte désargenté, et lui fait donner tous les atours dignes d'une telle lignée et de sa fonction de directeur de la mise en bouteilles. Hazeltine est fortement impressionné par ce gendre si bien mis et soudainement si déterminé à défendre les intérêts de la firme. Il le bombarde président pour l'Europe. MacNamara, lui, devient vice-président général, à Atlanta, ce qui lui permettra de continuer à vivre en famille.

FICHE TECHNIQUE

Réalisateur : Billy Wilder
Producteur : Billy Wilder
Producteur associé : I.A.L Diamond, Doane Harrison
Production : Mirisch Company, U.S.A., Pyramid productions, U.S.A., United Artists, U.S.A.
Scénario : Billy Wilder, I.A.L Diamond
Directeur de la photographie : Daniel L. Fapp
Compositeur : André Prévin
Directeur artistique : Alexandre Trauner
Genre : Comédie
Durée : 1h 55min.

DISTRIBUTION

James Cagney (MacNamara)
Horst Buchholz (Otto Ludwig Piffl)
Pamela Tiffin (Scarlett Hazeltine)
Arlene Francis (Phyllis MacNamara)
Liselotte Pulver (Ingeborg)
Red Buttons

ANECDOTES

Billy Wilder a tourné UN, DEUX, TROIS à Berlin qu'il avait quittée en 1933. Celui qui fut pour Ernst Lubitsch le scénariste de NINOTCHKA (que rappellent ici les trois émissaires commerciaux soviétiques, dont l'un à la fin passe à l'Ouest) se plaît à renvoyer dos à dos capitalisme, nazisme, communisme. Critiqué ou boudé de tous les bords, le film n'obtint pas de vrai succès public, d'autant que la construction du mur de Berlin, commencée pendant le tournage même, transformait la comédie en drame.

UN, DEUX, TROIS, est le dernier film tourné par James Cagney avant RAGTIME, son ultime apparition. Il est mort en 1986.

- James Cagney, censé symboliser le capitalisme et donc une certaine aisance matérielle, est conduit en Mercedes 300 Se, le modèle dit "Adenauer". Tout le film est d'ailleurs un régal pour les amoureux de Mercedes tant les prises de vue dans les rues de Berlin montrent plein d'autres voitures et camions de cette marque.

- Après avoir terminé la garçonnière, Billy Wilder avait envisagé de tourner l'O.N.U. en dérision, avec la collaboration des frères Groucho Marx, Harpo Marx et Zeppo Marx. Mais le projet fut abandonné à cause du mauvais état de santé d'Harpo. Wilder pensa alors à un autre projet, toujours de caractère politique, tiré d'une pièce en un acte de Ferenc Molnar qu'il avait vue à Berlin.

- James Cagney semble avoir gardé un fort mauvais souvenir du ryhtme infernal imposé par Billy Wilder : "je n'ai jamais rencontré un dictateur comme lui, je déteste ces types qui hurlent des ordres au lieu d'expliquer le rôle. [...] Ce n'est qu'après le tournage que j'ai appris qu'il me détestait, mais en ce qui me concerne, je le lui rendais bien."

- La construction du mur de Berlin débuta dans la nuit du 13 août 1961, juste en travers des lieux de tournage à la Porte de Brandenbourg. L'équipe, découvrant les bouleversements du décor au petit matin, dut se rendre à Munich pour tourner les scènes manquantes sur le parking des studios Bavaria Film, où une reproduction de la Porte fut construite en taille réduite.

- L'acteur Horst Buchholz eut un grave accident de la route vers la fin du tournage. Billy Wilder dut quitter Berlin avant d'avoir achevé le film. Après avoir attendu la guérison du comédien, il lui fallut reconstituer en studio à Hollywood la gare de Tempelhof. Le tournage de la séquence finale entraîna une dépense supplémentaire de 250 000 dollars.


CRITIQUES

"Quand Billy Wilder s’aventure d’un côté et de l’autre du mur de Berlin, forcément ça fait des ravages. Et James Cagney est génial. - Pascal Mérigeau - Téléobs

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Dernière modification le : 08/11/2009 @ 21:23
Catégorie : Aucune

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