Warning: file_exists() [function.file-exists]: Unable to access /mnt/147/sda/5/d/bestofcine/phpmv2/libs/Html/QuickForm/Rule/style.css.php in /mnt/162/sda/5/d/bestofcine/skin/bnr/skin.php(1) : eval()'d code on line 1

bestofcine.free.fr

BESTOFCINE le meilleur du cinéma

Jeudi 25 avril 2024

Accueil

Nouvelles

Photos

Téléchargement

Liens

Forum

Télévision

Rss

 

Admin

Calendrier

<< Avril  2024 >>
Lun Mar Mer Jeu Ven Sam Dim
01 02 03 04 05 06 07
08 09 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30 01 02 03 04 05

Météo

Aujourd'hui

Département

Météo Consult

Kim NOVAK - LE BISON BLANC (THE WHITE BUFFALO)



RESUME

En raison des exactions des chasseurs blancs, les immenses troupeaux de bisons qui peuplaient les plaines américaines ont été décimés en l’espace de quelques années. Le bison blanc aurait, quant à lui, complètement disparu. Pourtant, il semble qu’un survivant de l’espèce existe encore du côté de Cheyenne, massacrant les pionniers et semant la terreur parmi les Indiens. Lors d’une charge sur un village Oglala, l’animal fait plusieurs victimes, dont la fillette du chef de guerre Crazy Horse. Selon la coutume, ce dernier doit l’abattre afin que l’âme de son enfant puisse reposer en paix. Pour sa part, Wild Bill Hickok fait des cauchemars où il voit la bête foncer sur lui dans un paysage nocturne et enneigé. Pour guérir de cette obsession, il débarque donc à Cheyenne, sous le pseudonyme de James Otis, car il s’est fait de nombreux ennemis dans la région, notamment au sein de l’armée américaine et du peuple Oglala, qui lui reproche d’avoir jadis assassiné un émissaire de paix. Toutefois, il est reconnu à peine arrivé et, au cours d’une fusillade, abat le jeune caporal Kileen. Il s’enfuit en diligence pour Fetamin mais, au cours du trajet, il doit éliminer Coxy, un chercheur d’or qui tentait de le dépouiller. À Fetamin, il retrouve son ancienne maîtresse “Poker Jenny”, ainsi qu’une vieille connaissance, le borgne Charlie Zane, lui aussi sur les traces du bison blanc dont la tête peut être vendue 2 000 dollars. Dans un saloon, Hickok est pris à partie par “Whistling” Jack Kileen, le père du caporal, mais il réussit à s’échapper et part avec Zane pour les Montagnes Noires. Là, il aperçoit Crazy Horse attaqué par une quinzaine de Crows et se porte à son secours. Peu après, l’Indien paie sa dette en transperçant de flèches Kileen et ses acolytes, qui s’apprêtaient à en finir avec Hickok.
La traque du bison se poursuit, toujours plus angoissante. L’affrontement final se déroule de nuit, sans que l’on puisse déterminer lequel des trois chasseurs a véritablement vaincu l’animal. Est-ce Hickok, qui l’atteignit de plusieurs balles, ou bien Zane, dont l’aide fut déterminante lorsque le fusil de son ami s’enraya, ou encore Crazy Horse qui, avec un courage surhumain, se jeta sur le dos de la bête et l’acheva avec ses armes primitives ? Contre l’avis de Zane, furieux de perdre 2 000 dollars, Hickok décide que la victoire appartient à Crazy Horse, lequel pourra donc, selon la tradition, envelopper le corps de sa fille dans la dépouille de l’animal.

FICHE TECHNIQUE

Réalisation : J LEE THOMPSON (1977)
Scénario : Richard SALE d’après son roman
Directeur de la photographie : Paul LOHMANN
Musique : John BARRY
Production : Pancho KOHNER
Distribution : United Artists
Genre : Western
Durée : 97 minutes
Sortie France : 24 août 1977

DISTRIBUTION

Charles BRONSON (Wild Bill Hickok / James Otis)
Kim NOVAK (Mrs Schemerhorn, dite “Poker Jenny”)
Jack WARDEN (Charlie Zane)
Will SAMPSON (Crazy Horse / Worm)
Clint WALKER (“Whistling” Jack Kileen)
Slim PICKENS (Abel Pinkney)
Stuart WHITMAN (Winifred Coxy)
John CARRADINE (Amos Briggs)
Richard GILLILAND (Le caporal Kileen)
Ed LAUTER (Le capitaine Tom Custer)

ANECDOTES

- De 1973 à 1976, Charles Bronson avait été classé parmi les dix vedettes les plus populaires du cinéma américain, grâce, en partie, à des films tels que UN JUSTICIER DANS LA VILLE. En 1976, il tourna MONSIEUR SAINT-IVES pour J. Lee Thompson, qui devait dès lors devenir l’un de ses réalisateurs favoris.

- Si l’on excepte un film anglais à sketches (TALES THAT WITNESS MADNESS de Freddie Francis, 1973), Kim Novak était absente des écrans depuis près de huit ans.

- Avant Bronson, une vingtaine d’acteurs avaient incarné à l’écran Wild Bill Hickok (de son vrai nom James Butler), notamment Gary Cooper dans UNE AVENTURE DE BUFFALO BILL (1937), Roy Rogers dans YOUNG BILL HICKOK (1940), Howard Keel dans CALAMITY JANE (1953), Don Murray dans LES FUSILS DU FAR-WEST (1966), Jeff Corey dans LITTLE BIG MAN (1970)… Ensuite vint Jeff Bridges dans WILD BILL (Walter Hill, 1995).

CRITIQUES

Mon avis

Le bison blanc est un curieux mélange de western allégorique et de fantastique, une transposition en quelque sorte de Moby Dick en plein Far West. Nous sommes en 1874, le légendaire Wild Bill Hicock, joué par Charles Bronson, est à la recherche du bison blanc qui hante ses rêves chaque nuit. Dans sa quête, il est rejoint par un chef indien Crazy Horse (Cheval Fou).
La bête en elle-même est assez ridicule et artificielle, on sent le mécanisme sur roues et l'aspect mécanique fait plus sourire que peur. Le film est à placer dans le contexte de l'époque où les monstres étaient en vogue, entre King Kong et Orca.
Kim Novak n' apparaît que cinq petites minutes, après une demi heure de film, mais c'est un réel plaisir de la voir, après une si longue ansence des écrans de cinéma, si l'on excepte ses participations à des téléfilms. Elle est particulièrement convaincante et touchante dans une scène de retrouvailles avec Wild Bill Hicock, dans le rôle de Poker Jenny, une ancienne putain devenue repectable et veuve, qui tient un hôtel. Sa chevelure est insensée, longue et bizarrement choucroutée, elle parâit légèrement empatée mais le charme demeure, la voix toujours suave. C'est l'une des meilleures scènes du film, avec une belle musique nostalgique. Le reste se laisse voir sans plus, avec beaucoup de paysages neigeux et quelques séquences de fusillade classiques de western. Charles Bronson est égal à lui-même, assez monolithique, parlant plus qu'accoutumée et portant des grosses lunettes la plupart du temps, ce bon vieux Bill étant atteint de glaucome et ne supportant pas la lumière du jour. Le bison blanc se suit sans passion, on était en droit d'attendre mieux d'un tel sujet.

Autres critiques

"Après avoir assuré la résurrection de "KING KONG", Dino De Laurentiis se lance à nouveau dans l'évocation d'un monstre mythiques. Les deux chasseurs sont eux-mêmes des personnages historiques légendaires (Wild Bill Hickok et Cheval Fou). Dans ce film tout est maîtrisé: mouvements de caméra souples; photographie superbe. Quant à l'interprétation: Bronson, Sampson et Warden...des jeunots."
Source : notrecinema.com

AFFICHES





PHOTOS






























Imprimer la page  Imprimer la page

Dernière modification le : 10/11/2007 @ 13:43
Catégorie : Aucune

Infos site

Webmaster :
BENYAYER Laurent

Envoyer un message

Ce site est compatible avec les navigateurs de version 5 minimum.

Vous disposez d'un droit d'accès, de modification, de rectification et de suppression des données qui vous concernent (art. 34 de la loi "Informatique et Libertés" du 6 janvier 1978) en écrivant au webmaster.

Déjà 1269846 visiteurs

Recherche

Google

Sur le web

Sur ce site

Haut

Site créé avec Phortail 2.0.5
PHP version 4.4.3-dev

Page générée en 0,085 secondes