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1959 - 125 RUE MONTMARTRE



RESUME
Pascal, crieur de journaux, sauve Didier qui vient de se jeter dans la Seine. Comme Didier semble seul, perdu, et qu'il a faim sans avoir d'argent, Pascal sent fondre sa misanthropie, lui offre à manger et le reçoit dans sa chambre. Didier parle, parle sans cesse de lui, de son histoire, de sa femme qui veut le faire interner. Il fait si bien qu'il finit par attendrir le coeur de Pascal et que celui-ci décide de venir en aide son unique ami. Pascal trouve d'abord du travail pour Didier qui devient lui aussi crieur de journaux. Et comme Didier n'ose pas rentrer chez lui par peur de sa femme, c'est Pascal qui, sur les indications de son ami, pénètre dans le pavillon puis dans le bureau où il trouvera une certaine somme que Didier a cachée. Mais Catherine, femme de Didier, survient. Elle appelle la police. On arrête Pascal qui n'a pu s'enfuir, en même temps que les policiers trouvent, dans une pièce contiguë, le cadavre d'un homme. Pascal est accusé du meurtre. Pourtant, le commissaire, qui ne croit pas à sa culpabilité, le remet en liberté provisoire. Pascal se lance à la recherche de Didier qui, entre temps, a disparu. Il finit par le découvrir, dans un cirque, sous le maquillage d'un clown. L'effroi soudain de Didier quand il aperçoit Pascal est la preuve de sa culpabilité. La police survient à temps pour arracher Didier des mains de Pascal. Car Didier n'était pas le mari mais l'amant de Catherine. Le cadavre, lui, c'était celui du mari.
© Les fiches du cinéma 2001

FICHE TECHNIQUE
Réalisateur : Gilles Grangier
Scénario : Jacques Robert, André Gillois, Gilles Grangier
Auteur de l'oeuvre originale André Gillois
Dialogues : Michel Audiard
Société de production : Orex Films
Producteur : Lucien Viard
Directeur de production : Paul Joly
Distributeur d'origine : Pathé Consortium Cinéma
Directeur de la photographie : Jacques Lemare
Ingénieur du son : Antoine Archimbaud
Compositeur de la musique : Jean Yatove
Assistants-réalisateurs : Jacques Deray, Guy Blanc
Monteur : Jacqueline Douarinou
Tournage : 25 mai au 12 juillet 1959
Genre : Policier/Drame
Durée : 1h25
Sortie France : 09 Septembre 1959

DISTRIBUTION
Lino Ventura (Pascal)
Andréa Parisy (Catherine Barrachet)
Robert Hirsch (Didier Barrachet)
Dora Doll (Mémène)
Jean Desailly (Commissaire Dodelot)
Alfred Adam (Philippe Barachet)
Lucien Raimbourg (Victor)
Valérie Vivin (Paulette)
Christian Lude (le turfiste)
Charles Lemontier
Jacques Monod
Pierre Collet
Pierre Mirat
Emile Genevois
Paul Mercey
Guy Henry
Henri Crémieux
Jean Juillard
Marcelis
Loriot


AUTOUR DU FILM
125, RUE MONTMARTRE est l’adresse des Messageries de la Presse Parisienne, milieu que l’écrivain André Gillois connaissait bien et qu’il entreprit de décrire dans son roman du même titre qui obtint le Prix du Quai des Orfèvres 1958 pour la qualité de son intrigue autant que pour l’authenticité de son décor, son aspect documentaire et son pittoresque.

André Gillois était le pseudonyme de Maurice Diamant-Berger, né en 1902 et frère du réalisateur et producteur Henri Diamant-Berger. Speaker à la BBC pour les émissions à destination de la France durant la guerre, André Gillois devint producteur à la radio et à la télévision à la fin de années quarante. Son émission de la Radiodiffusion Française “Cas de Conscience”, très populaire à cette époque, a fourni le sujet d’un film d’Henri Calef, LA SOURICIÈRE (1949) avec François Périer et Bernard Blier. Selon le témoignage de Gilles Grangier, Michel Audiard l’appelait “le petit sapajou”, «parce qu’il était haut comme la commode et s’exprimait de façon un peu précieuse.»

Une lecture attentive du générique nous apprend que le futur réalisateur de La Piscine, Jacques Deray, était assistant réalisateur tandis que Claude Zidi était assistant opérateur.

DIALOGUES

- On devrait interdire aux imbéciles de parler la bouche pleine.

- Entre un propriétaire qui surprend un voleur ou un mari qui surprend l'amant de sa femme, ça peut, dans les deux cas, donner une jolie veuve.

CRITIQUES

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Mon avis

12 rue Montmartre est un très bon film du Samedi soir, fait par un artisan du cinéma Gilles Grangier, tant décrié par la Nouvelle Vague mais qui au final aura livré quelques bons moments de cinéma dont ce film fait partie. Lino Ventura s’y montre très à son aise dans un premier rôle d’envergure, dans un personnage populaire, brave gars vendeur de journaux dans la rue, bon vivant, bourru au cœur tendre, toujours prêt à rendre service, qui pour avoir sauvé un désespéré de la noyade, va se retrouver embarqué dans une machination diabolique et être accusé de meurtre. Il aura fort à faire pour prouver son innocence. Lino ne joue pas, il est le personnage tant celui-ci lui colle à la peau, Michel Audiard lui réserve quelques répliques savoureuses dont celle où attablé au restaurant, devant la grise mine de Robert Hirsh, il dit « Pour moi y a qu'une chose de sérieux dans la vie, c'est l'heure des repas et puis de temps en temps la bagatelle, mais à condition de pas se foutre à la flotte pour ça ! »avant de demander à la serveuse de lui mettre de côté une tarte. Du grand Lino, à mille lieux du gorille ou du fauve, qui déjà cherche à diversifier ses rôles et à ne pas se laisser enfermer dans des clones du gorille. Le reste du casting est soigné, bénéficiant de la bonne composition de Robert Hirsch dans l’emmerdeur patenté, accroché aux basques de son sauveur, près de vingt ans avant cela préfigure le film « L’emmerdeur » avec Jacques Brel et toujours Ventura dans l’emmerdé, dans un registre plus comique.

Autres critiques

"Lino se méfiait du moindre truc, d'un détail, d'un faux pas. Il devait être d'accord sur tout de A à Z", raconte Gilles Grangier. Ce polar se regarde sans déplaisir. Grâce à l'exigeant Lino et à Robert Hirsch, comme toujours excellent."
Cécile Mury - Télérama

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Dernière modification le : 19/12/2007 @ 21:54
Catégorie : Aucune

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