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1958 - SURSIS PUR UN VIVANT



RESUME
Jean Monnier, auteur dramatique qui a failli se tuer sur la route, reçoit la visite de M. Thanatos qui lui explique qu'il a une recette pour se suicider convenablement. Monnier fait semblant d'être un suicidé raté, accepte le contrat et est envoyé dans une station de montagne, au bout d'un télébenne, à la pension « Les Edelweiss ». Six pensionnaires et deux domestiques sont sous les ordres du propriétaire, Borcher. Quant Borcher joue au piano un air de sa façon, on sait qu'un pensionnaire mourra dans la nuit ; on ne sait comment ils disparaissent. Après le peintre raté, le ténor malheureux, le général nazi, la femme de lettres ruinée, Monnier se retrouve seul avec Nadia Rakesy qui le supplie de la sortir des portes de la mort. Mais Borcher et ses deux domestiques empêchent toute évasion. C'est seulement par un hasard quasi miraculeux que Monnier réussit à prendre dans la poche de Borcher endormi la clef du télébenne et à ramener à Paris Nadia dont il est amoureux. Borcher a retrouvé sa trace et réussi à récupérer Nadia. Monnier les rejoint tous deux à la pension « Les Edelweiss » et découvre qu'il a vécu un scénario bien monté, où il n'y a aucune victime et qui a pour but de réconcilier avec la vie les gens tentés de se suicider.
© Les fiches du cinéma 2001

FICHE TECHNIQUE
Réalisateur : Victor Merenda
Auteur de l'oeuvre originale André Maurois d'après la nouvelle "Sursis pour un vivant"
Adaptateur : Frédéric Dard
Dialogues : Frédéric Dard
Sociétés de production : C.C.C. - Compagnie Continentale Cinématographique, Méditerranée Cinéma Productions (Paris),
Arbe Film, Nepi Film (Roma)
Producteur : Marius Lesoeur
Producteur associé : Georges Cheyko
Directeur de production : Roger Péré
Distributeur d'origine : Jeannic Films
Directeur de la photographie : Quinto Albicocco
Ingénieur du son : Jacques Lebreton
Compositeur de la musique : Daniel White
Monteur : Georges Arnstam
Genre : Drame
Durée : 1h28
Sortie France : 10 Mars 1959

DISTRIBUTION
Henri Vidal (Jean Monnier)
Dawn Addams (Nadia Rakesy)
Lino Ventura (Borcher)
John Kitzmiller (le domestique)
Howard Vernon (Général Funck)
Lauretta Masiero (Antonella)
Silvio Bagilini (Thanatos)
Marco Guglielmi (le peintre Rinchet)
Fortunia (Mlle Orsay)
Benedetta Rutili (Rosine)
Giacomo Furia (Dagroni)

CRITIQUES

Mon avis

Sursis pour un vivant est une vrai curiosité, l’histoire est originale et intrigante même si le film ne tient pas toutes ses promesses, la faute sans doute à une interprétation hétéroclite et inégale. Cette pension Edeilweiss, chalet perché au sommet d’une montagne enneigée, comme perdue au bout du monde, est en effet très étrange, qui accueille des candidats au suicide qui se sont ratés ou qui n’osent pas passer à l’acte et leur propose de mettre fin à leurs jours moyennant un contrat juteux pour eux. Le directeur de l’établissement est joué par Lino Ventura, dans une bonne composition très inquiétante, qui sait bien tirer parti de sa personnalité. Il se ballade le plus souvent avec un fusil aux épaules, quant il ne joue pas le soir au piano une mélodie annonciatrice de la mort prochaine d’un des pensionnaires (ce qui nous vaut la réplique « Le tueur d’élite est aussi mélomane ». Il fait vraiment froid dans le dos et montre la richesse et la subtilité de son jeu dans un rôle intéressant, un peu différent des truands tout d’une pièce. Quant à Henri Vidal et Dawn Addams, le couple central, il s sont beaucoup moins convaincants. Le film ne tient pas sur toute la longueur et s’avère au final un peu décevant dans son dénouement amené platement et de manière conventionnel.
Le réalisateur Victor Merenda n’aura pas laissé une grande empreinte au cinéma mais Sursis pour un vivant aura livré au moins un film qui se laisse voir à défaut d’être totalement réussi.

Autres critiques

"La nouvelle d'André Maurois, Thanatos Palace Hôtel, était une merveille. A la fois cynique et mystérieuse. Faute de budget, l'hôtel raffiné, presque viscontien, décrit par le romancier, s'est transformé en chalet miteux. Et le dénouement, très noir chez Maurois, est affaibli par un happy end conventionnel. Henri Vidal est agaçant. Dawn Addams, pas terrible. Seul Lino Ventura, inquiétant, fait un sort aux bons mots de Frédéric Dard. La nouvelle de Maurois méritait mieux."
Pierre Murat - Télérama

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Dernière modification le : 19/12/2007 @ 20:48
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